Distancez vos concurrents avec l’Enterprise Change Management (ECM)

Il y a bien longtemps que le CM n’est plus un simple kit d’urgence pour faire face aux dimensions les plus intangibles du changement. Bien que le CM soit aujourd’hui une discipline à part entière avec des professionnels spécialisés, beaucoup d’organisations sont encore à la traîne. Intégrer la Gestion du Changement à la Gestion de Projet est une mesure nécessaire mais non suffisante. Pour un résultat optimal, le CM doit être systématisé et diffusé dans toute l’organisation. Il s’agit, en un sens, d’une approche stratégique permettant d’anticiper, de gérer et consolider tout un éventail de changements dans le temps et dans l’espace. Voici pourquoi et comment transformer le Change Management en cadre organisationnel structurant (ECM). Engagez-vous sur la voie du succès avec l’ECM et distanciez vos concurrents dans un monde en mutation rapide !

Parce que le changement est la nouvelle norme.

A mesure que les changements se multiplient, se superposent et s’amplifient, l’instabilité devient la norme. La saturation du changement est un problème contemporain qui se traduit par des goulets d’étranglement organisationnels et un déclin des performances. Tout le défi est donc de passer d’une application ponctuelle - isolée - du CM (approche projets par projets) à une approche plus intrinsèque de la gestion du changement, c’est-à-dire plus solidement ancrée dans la structure de l’organisation. On peut certes se féliciter du succès d’un projet mené à bien dans les limites de temps et de budget établis. Mais le véritable enjeu consiste à optimiser les résultats au niveau d’un portefeuille. Ce n’est certainement pas une mince affaire et c’est ici que l’ECM entre en jeu.

PROSCI emploie le terme « Enterprise Change Management » (ECM) pour désigner « le déploiement structuré et intentionnel du Change Management au travers de l’organisation », pour faire de celui-ci « une compétence fondamentale, un différentiateur compétitif et une valeur culturelle ».

L’ « Entreprise Change Management » s’articule autour de trois dimensions[1]:

• une « bibliothèque partagée » : un ensemble commun de processus, compétences et outils (dont une lexicologie commune) considéré comme faisant partie intégrante du projet et mis en place dès ses prémisses (c'est-à-dire non greffé à posteriori comme une sorte de complément).
• un « ciblage étendu » : des compétences en leadership et CM présentes à la tous les niveaux de l’organisation, permettant aux exécutifs seniors, responsables RH, managers projets et membres d’équipe de devenir des vecteurs effectifs du changement.
• une « approche globale » : une aptitude stratégique renforçant la capacité de réaction aux changements du marché.

Dites plutôt Projet « ECM ».

En bref, il ne s’agit pas de faire plus de CM mais d’en faire la norme. Implémenter l’ECM exige une évolution des mentalités qui peut être plus facilement obtenue en construisant et en gérant l’ECM comme un projet en tant que tel (PROSCIc).

Comme tout projet géré suivant la méthode PROSCI, l’implémentation de l’ECM exige (1) une évaluation rigoureuse de l’approche actuelle du changement dans l’organisation, (2) une vision claire de l’état futur auquel l’organisation aspire et (3) une feuille de route abordant les dimensions à la fois techniques et humaines du changement pour assurer une transition harmonieuse.

Avec l’ECM, le CM prend une toute nouvelle dimension. Il s’inscrit dans l’ADN de l’organisation, laquelle gagne en agilité. En tant qu’approche holistique du changement, l’ECM fait sien l’adage selon lequel le tout est toujours plus grand que la somme de ses parties. De quoi gérer le CM en conséquence pour de meilleurs résultats, plus rapidement.  

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